: Théâtral

Improvisations sur les cinq sens

printemps 2004
piano, soprano, violoncelle, percussions, bande, mise en scène, traitement en temps réel, cornemuse et auto télécommandée

Un piano discute avec un pianiste. Le piano veut savoir pourquoi il doit se plier aux désirs du pianiste. Le pianiste doit alors lui prouver, en parlant piano, qu’il a certains atouts majeurs: les cinqs sens. Cinq improvisations libres sur la vue, l’odorat, le goût, le toucher et l’ouïe.

Sometime we need something to give improvisation ideas. This piece have a part of exploration to try other inspiration sources.


Jean-Claude Bernier, piano; Marianne Lambert, soprano; Mathieu Voghel Robert, violoncelle; Stéphanie Cyr, percussions; Brent Shaus, cornemuse; Sylvie-Anne Ménard, auto télécommandée; Fátima Rocchia, costumes

Pour la seconde version (concert du CECO, printemps 2005), Jean-Dominique Felx à la cornemuse

Créée en mai 2004, lors d’un Concert de classe des élèves de Michel Smith, à la salle Serge-Garant de l’Université de Montréal. Jouée le 24 mars 2005, lors d’un Concert du Ceco (Cercle des compositeurs de l’Université de Montréal) à la salle Claude-Champagne de l’Université de Montréal.

photo, concert du Ceco, mars 2005







(audio) Aria aux sens (soprano solo) (mai 2004)
(audio) La vue (introduction) (mai 2004)
(audio) Le toucher (introduction) (mai 2004)
(audio) Le rêve (mai 2004)

Sans escalier

hiver et printemps 2004
slinky solo avec traitement en temps réel

slinky playing Plus qu’un jouet qui n’a comme destin que de descendre les escaliers, le slinky est une merveille de mouvements, desquels ressortent des sons surprenants!

À mi-chemin de la recherche, Sans escalier, est une étude pour slinky solo, servant à un projet de plus grande échelle.

merci à Francis Beaulieu, qui, un jour, a monté mes escaliers, avec un énorme tube...




Créée le premier février 2004, lors 10e anniversaire du programme de composition du Département de musique du cégep de Saint-Laurent, à la salle Adrienne-Milotteau du cégep de St-Laurent. Jouée le 19 mars 2004, lors d’un concert du Ceco (Cercle des compositeurs de l’Université de Montréal) à la salle Claude-Champagne et en mai 2004, à la salle Papineau-Couture, lors des concerts de fin de session du secteur électroacoustique de l’Université de Montréal.


Relié à cette pièce, il y une installation qui a été faite quelques années plus tard.

Critique
Critique

un peu de recherche sur le slinky



Prélude de bouilloires

automne 2003
art électroménager

Ceci est plus une expérience qu’un pièce en soi. Dans une salle noire, il y a neuf bouilloires. Seule lumière: de petites ampoules autours des bouilloires. Je remplis les bouilloires et les allume, une à une. Elles se mettent à siffler, une à une. Ici, le vent les a accompagnées. Ensuite, je remplis une théière d’eau et je sers du thé au public.

The tea canto by the whistling kettles.

Créée lors de l’Électrolab du 24 novembre 2003, à la Salle Serge-Garant de l’Université de Montréal

This is the score

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