un peu de recherche sur le slinky
20/12/2004
Dans le cadre d’un cours d’accoustique, à l’Université -> ici
À chacun sa balloune!
02/11/2004
automne 2004
pour foule jouant des ballounes
You would like become a balloons payer? Yes! It’s possible! Just follow instructions, and have fun!
Le laboratoire est un endroit pour faire des expériences. J’ai voulu expérimenter à quel point nous pouvions utiliser le public comme musicien, comme intervenant sur le son. Étant en train de travailler sur une pièce pour violoncelle, percussions et ballounes, je me suis demandé si le public, ou une partie du public, pouvait devenir, à un certain moment, un joueur de balloune. Pour cette expérience, chacun des participants avait une balloune. Pendant un certain temps, un vidéo expliquant quelques techniques de jeu de la balloune était projeté sur un écran.
Par la suite, une partition simple y était projetée. La partition comprenait quatre parties: les ballounes rouges, jaunes, vertes et bleues. Le participant devait suivre la partie correspondant à la couleur de sa balloune. Tout d’abord, les joueurs de ballounes étaient disposés dans l’espace, soit à l’avant droite, l’avant gauche, l’arrière droite et l’arrière gauche de la salle.
Ensuite, des indications simples (la partition) défilaient sur l’écran. Les gens ont très bien participé et ont suivi avec rigueur la partition. Je crois que la simplicité de la partition a permis cette rigueur, et de créer de grandes masses criantes et des effets visuels colorés!
Créée le 2 décembre 2004, lors d’un Laboratoire organisé par le CeCo (Cercle de compositeurs de l’Université de Montréal) à la salle Serge-Garant de l’Université de Montréal, et rejoué en septembre 2005 au concert Gala du Ceco.
Installation sonore sur le slinky
01/11/2004
automne 2004
laboratoire du 2 décembre 2004
Suite à Sans escalier, le slinky persistant à m’envahir, j’ai donc poussé la recherche un peu plus loin. Cette installation regroupe une vingtaine d’instruments tous faits à partir du slinky. Les instruments ont différents types de résonateurs, ce qui leur donne des timbres relativement différents. Les instruments étaient disposés dans la salle, soit pendus sur une corde à linge, soit sur un porte-manteaux à roulettes. Il y avait aussi une grande feuille de tôle au plafond, avec des slinkys accrochés dessus et deux feuilles de tôles verticales, avec un très long slinky étiré entre les deux. Le public était invité à décrocher les instruments et à jouer du slinky. Personnellement, j’ai beaucoup aimé cette interaction directe entre le public et la production du son. Je crois que cette installation pourrait être présentée dans un tout autre cadre et serait tout autant appréciée. Je crois que des gens qui ne s’intéressent pas, au premier abord, à la musique électroacoustique pourraient trouver amusant de jouer avec les sons de cette façon. Après avoir traversé une installation du genre, où une personne peut elle-même directement influencer et jouer avec les sons, redevenant un spectateur, elle ne peut que mieux apprécier le travail d’un compositeur (électroacoustique, par exemple), qui a travaillé les timbres et les sons.
You can touch slinkys to feel the slinky sound. You will like that, I’m sure!
Présentée le 2 décembre 2004, lors d’un Laboratoire organisé par le CeCo (Cercle de compositeurs de l’Université de Montréal) à la salle Serge-Garant de l’Université de Montréal.
(video) quelques extraits vidéo
(link) un peu de recherche sur le slinky
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