: composer - sound artist - performer - bassoon improviser - live electronics musician

AIR / SURFACE GRAPHIC SCORE PERFORMANCE BY L'ENSEMBLE HABITANT MEMBERS AND FRIENDS

Détails ici
DIMANCHE 16 JUIN, 2019
Portes 13:00 / Show 13:30
$8 / $10

Venez vivre l’expérience du graphic score air / surface de Elizabeth Millar et Justin Devries, composé en 2018 et commandé par la Now Society. Le concert sera formé de 11 ensembles s’enchaînant les uns à la suite des autres ! Ensemble Habitant est un grand ensemble à géométrie variable de musicienNEs de tous les horizons provenant de Montréal et d’ailleurs. Principalement axé sur la performance de partitions graphiques, l’ensemble a joué des compositions de Matt Robidoux, Julie Richard et Hildegard Westerkamp. Sa démarche est entre autre inspirée par le radicalisme de Cornelius Cardew, la patience de Pauline Oliveros et la fougue de Butch Morris. Liste des artistes pour le 16 juin : James Annett [violon alto] Esther Bourdages [tables-tournantes] Louis Beaudoin De-la-Sablonnière [guitare] Preston Beebe [instruments électroniques, percussion] Ky Brooks [voix] Marie-Hélène Brousseau [synthétiseurs] Charly Buss [synth] François Bussières [instruments électroniques, bandes] Yannick Chayer [instruments électroniques, saxophone, flute] Stefan Christoff [piano] Guillaume Cliche [instruments électroniques] Guillaume Cloutier [guitare] Eric Craven [batterie] Geneviève d’Ortun [instruments électroniques, saxophone] Sienna Dahlen [voix] Jean Derome [instruments à vents, petits objets] David Dugas Dion [saxophone, guitare] Claudia Edwards [voix] Dustin Finer [saxophone] Émilie Fortin [trompette] Geneviève Gauthier [saxophone] Nathalie Gélinas [instruments électroniques] James Goddard [saxophone] Marina Hasselberg [violoncelle] Joane Hétu [saxophone, voix, petits objets] Anne-F. Jacques [instruments électroniques] Charlotte Layec [clarinette] Matt Lee [instruments électroniques] Alain Lefebvre [électroniques] Eric Lewis [trompette] Liberté Anne Lymberiou [piano] Hailey McCarthy [guitare/basse] James Meger [basse] Michel Meunier [guitare] Elizabeth Millar [instruments électroniques] Reüel Ordonez [trombone] Sonia Paço-Rocchia [instruments maison] Craig Pedersen [trompette] Alex Pelchat [guitare] Marilène Provencher-Leduc [flute] Deanna Radford [voix] Julie Richard [tuba] Martin Sasseville [instruments électroniques] Paul Serralheiro [trompette] Pierre-Luc Simon [batterie] Olivier St-Pierre [piano] Scott Thomson [trombone] Ida Toninato [saxophone] Roy Vucino [instruments électroniques, guitare

Ode au métal

Ode au métal - I: Être-vent-vibre
Ode au métal est un alliage entre le théâtre musicale et l’installation sonore performative. C’est une pièce qui met en avant la matière, visuellement et soniquement en l’explorant, l’exploitant avec l’humain, son souffle face à la solidité et la force du métal. Cette pièce rempli l’espace où le métal sonne à même l’audience qui est elle aussi joue un bras de fer avec l’acier. C’est une pièce très près de l’instinct et de l’instant, tout en étant vivante et émotive. C’est une histoire de matière et d’émotion, de toucher, souffler, de sentir, d’avoir chaud, d’être en vie, de confrontations. La pièce est un questionnement, des prises de position, où l’humain sera touché et le métal vibrera. Mais qui est le plus solide, qui est le plus émotif, le plus vivant, vibrant, le vent, le feu, l’être humain ou l’acier?

Être-vent-vibre (premier mouvement)
Le musicien face à lui-même, aux torsions et aux possibilités de son instrument, la réflexion de son propre son dans l’aluminium et l’acier, le son qui court dans l’espace, de feuille d’acier en feuille d’acier et qui nous englobe et nous porte. Les relations interpersonnelles et les alliages qui se lient et s’opposent. L’acier qui résonne, change les timbres passivement, et puis non, n’est plus passif, se tord et rage. La réponse du laiton, alliage cuivre et zinc du saxophone, face à l’acier.

En résidence avec Quasar à Recto-Verso
Les membres de l’ensemble Quasar ont travaillé avec la compositrice lors d’une résidence à Recto-Verso et on été inclus très tôt dans le processus de composition où tous ont explorés les possibilités des saxophones face au métal. Le métal a alors été utilisé comme corps vibrant, résonateur, enrobage, amplificateur, et pour sa réverbération naturel mais aussi comme haut- parleur et comme microphone.

Ode au métal a été crée lors du concert de Quasar, Cathédrale Métal.

Ode au métal a remporté deux prix Opus.






Création de Ode au métal, I:Être-vent-vibre

pour quatuor de saxophones, grandes tôles augmentées, soudage musical et traitement sonore en temps réel
Ode au métal sera crée lors du concert de Quasar, Cathédrale Métal

JEUDI, 6 JUIN 2019 | 20:00
Amphithéâtre du Gesù
1200 de Bleury
Montréal, QC H3B 3J3


Ode au métal - I: Être-vent-vibre
Ode au métal est un alliage entre le théâtre musicale et l’installation sonore performative. C’est une pièce qui met en avant la matière, visuellement et soniquement en l’explorant, l’exploitant avec l’humain, son souffle face à la solidité et la force du métal. Cette pièce rempli l’espace où le métal sonne à même l’audience qui est elle aussi joue un bras de fer avec l’acier. C’est une pièce très près de l’instinct et de l’instant, tout en étant vivante et émotive. C’est une histoire de matière et d’émotion, de toucher, souffler, de sentir, d’avoir chaud, d’être en vie, de confrontations. La pièce est un questionnement, des prises de position, où l’humain sera touché et le métal vibrera. Mais qui est le plus solide, qui est le plus émotif, le plus vivant, vibrant, le vent, le feu, l’être humain ou l’acier?

Être-vent-vibre (premier mouvement)
Le musicien face à lui-même, aux torsions et aux possibilités de son instrument, la réflexion de son propre son dans l’aluminium et l’acier, le son qui court dans l’espace, de feuille d’acier en feuille d’acier et qui nous englobe et nous porte. Les relations interpersonnelles et les alliages qui se lient et s’opposent. L’acier qui résonne, change les timbres passivement, et puis non, n’est plus passif, se tord et rage. La réponse du laiton, alliage cuivre et zinc du saxophone, face à l’acier.

En résidence avec Quasar à Recto-Verso
Les membres de l’ensemble Quasar ont travaillé avec la compositrice lors d’une résidence à Recto-Verso et on été inclus très tôt dans le processus de composition où tous ont explorés les possibilités des saxophones face au métal. Le métal a alors été utilisé comme corps vibrant, résonateur, enrobage, amplificateur, et pour sa réverbération naturel mais aussi comme haut- parleur et comme microphone.




Réflexion

réflexion sur la nécessité probable de la mécanisation de pollinisateurs

Installation audio visuelle cinétique interactive à des données prisent sur le web en temps réel

L’Automate, un prisme à base hexagonale avec 19 miroirs motorisés qui réagissent dans une chorégraphie visuelle au sons d’abeilles et qui reflète une projections déconstruite de textures et couleurs de la nature.

Un chorégraphie visuelle et une composition générative, déduite par ce qui influence les abeilles: température, ensoleillement, moment de la journée, pluie, changement climatique: une vitrine intérieure reflétant de multiples mondes, partout sur la planète, de minuscules êtres dont le travail assidu nous permet de vivre. Réflexion est une pièce où la beauté devient source d’inconfort. Elle évoque un sentiment de perte, une réflexion sur la nécessité probable de la mécanisation de pollinisateurs. L’être humain survivrait-il à leur extinction? 

« Mon père a des ruches, il habite une région agricole. Son idée est d’essayer de faire de l’apiculture différemment. Il suit la méthode Warré. Depuis, les poiriers qui ne faisaient jamais de fruit sont pleins, il y a plus de fleurs, plus de vie: avant il n’y avait pas assez de pollinisateurs. Cependant, à chaque année, une histoire se reproduit. À l’automne, les abeilles ont accès à moins de fleurs, et elles font de plus en plus de distance pour les trouver. C’est là que trop souvent, la ruche meurt. Une fois, du jour au lendemain, il manquait plus de la moitié de abeilles. Elles étaient confuses, elles n’ont pas pu retrouver la ruche. Une autre fois, elles ont essaimé 3 fois dans la semaine. Une autre fois elles étaient si faible que le varroa les a dévasté. Nettoyer une ruche de 10 000 cadavres, c’est triste. Ce n’est pas un cas isolé et en lisant des statistiques sur les abeilles on se rend compte que c’est un problème mondial. »


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