Parce que le temps passe tout le temps.

He’s always on time. The time runs, he must runs. But sometime, he stops the time, just the time of a dream. Take the time do dream and live.

This piece is mostly written, but contains some improvisations. As it was a commission for Frédéric Demers’ end of doctorate concert, it is a virtuose piece.



Culbute, ça tourne, le temps! Toujours, il faut tourner en rond, regardez l’aiguille, elle fait chanter, le coucou, et tourne, tourne, tourne, tourne encore! Tic tac, tic tac, tic tac, tic tic... tic tic... tic tac! Dit, stop le temps! Il peut dire, mais, le temps, il ne veut rien comprendre, Tic! ou alors, il est sourd! Tac!



Cette pièce est dédiée au bout-en-train énergétique, Frédéric Demers qui m’a fait connaître le cornet, un si bel instrument qui est malheureusement en voie de disparition. Alors, maintenant je mange la crème glacée dans une assiette.

Sadly we don’t hear the electronics so well in this version. The piece is quadraphonic and sounds from the cornet are process and used in the space. Sometime turning obsessively clockwise around the listener.

Frédéric et moi avons maintenant un duo qui a suivi le travail sur cette oeuvre. Dans son premier spectacle, Eclec-T, le duo VibraLib a revisité Il temps-te. On peut en voir en extrait au début de ce vidéo